Bibliographie berbère générale

 

L'interrogation est possible selon plusieurs critères : AUTEUR, PAYS, DIALECTE, MOTS-CLÉS, NOM PROPRE, ANNÉE

On peut indiquer ces éléments les uns à la suite des autres dans la recherche. Exemples :

- Chaker diachronie 1994
- Prasse 1998
- Stumme chleuh

5 Résultat(s) trouvé(s)
Encyclopédie berbère : 10. ; Beraber - Linguistique., 1991
Dialecte : TAMAZIGHT
Mots clés : LANGUE, DIALECTOLOGIE
Ville, éditeur : Aix-en-Provence , Edisud
Pagination: p. 1473-1475
AFRIKA UND ÜBERSEE; "Die Verbreitung von Problemlösungen bei Konsonantenhaüfung in der Verbindung ""Präposition plus Nomem"" im Berberischen. [La généralisation de l'analyse des assimilations consonantiques dans la séquence ""Préposition + Nom"" en Berbère].", 1986
Dialecte : DOMAINE BERBERE
Volume: 69; Fascicule: 1; Pagination: 01-17
BEITRÄGE ZUR AFRIKANISTIK; Zum Problem der Ausfallung von Adstraten aus Idiolekten berberischer Wanderarbeiter. [A propos de l'influence des adstrats dans l'idiolecte berbère d'un travailleur migrant]., 1981
Dialecte : TAMAZIGHT
Mots clés : DIALECTOLOGIE
Volume: 11-déc; Pagination: 185-222
ENCYCLOPEDIE BERBERE; Beraber (linguistique)., 1980
Dialecte : TAMAZIGHT, CHLEUH
Mots clés : PHONETIQUE, PHONOLOGIE
Fascicule: 27; Pagination: 5 p.
Die dialektale Differenzierung des Berberischen. [Les divisions dialectales du berbère]., 1980
Ville, éditeur : Berlin , Reimer
Pagination: 139 p.
Compte rendu : Très important essai de classification linguistique des dialectes berbères, à partir d'un modèle de discrimination mettant en jeu les pronoms personnels, le vocabulaire des arbres fruitiers. Le sondage porte sur la quasi totalité du domaine berbère. La seconde partie met en œuvre un modèle similaire sur une aire plus réduite, le sud-est du Maroc central dont l'auteur essaie d'établir les subdivisions dialectales. Ce travail constitue un évènement majeur dans un axe de recherche délaissé et délicat. Le modèle et sa mise en œuvre n'échappent cependant pas à la critique ou à la réserve, d'autant qu'ils aboutissent parfois à des résultats surprenants (le classement du kabyle comme "langue" à part, au même titre que le touareg). Il y a tout lieu de penser qu'il s'agit d'un artefact. Le modèle appelle des réserves évidentes : pourquoi tel paradigme grammatical plutôt que tel autre? Pourquoi un paradigme plutôt que des faits de syntaxe de l'énoncé? Pourquoi les arbres fruitiers plutôt que les parties du corps, par exemple? Les conclusions seraient-elles les mêmes avec d'autres choix? De plus, la mise en œuvre pose de sérieux problèmes quant à la fiabilité et à la représentativité des matériaux utilisés. Ainsi, pour le kabyle, beau¬coup des formes utilisées ne sont que locales et non généralisables à toute la Kabylie... Présentation en langue française par l'auteur dans : Rapport sur la recherche africanistique allemande (Bonn : Deutsche Forschungsgemeinschaft/Tübingen : Institut pour la Coopération Scientifique).